La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Affiche du Commissariat Général à l'éducation Générale et aux Sports signée Jean A. Mercier.
«Le sport cette chevalerie moderne» - vers 1940.
Faculté des sciences de l'Université de Strasbourg à Clermont-Ferrand en 1943 (avant la rafle)
© AERIA / Archives privées de la famille Salomon Droits réservésLettre de l’Instituteur Jalade à ses collègues de Marseillan, Bessan et Vias pour l’envoi de matériels à leurs collègues espagnols internés dans les camps, fait à Agde, sans date.
© Musée départemental de la résistance et de la déportation de Haute-Garonne Droits réservésPhotographie de classe d'Eva Rappaport, avec certaines élèves portant l'étoile jaune.
Ecole primaire de l'avenue Parmentier, Paris 10e, 23 juin 1942
Feuillet conservé dans le cahier de textes de Marie-Juliette Ménard, élève de 1ère au collège-lycée Joachim Du Bellay d’Angers, année scolaire 1940-1941.
Ce document, assez unique, a été retrouvé dans le cahier de Marie-Juliette Ménard. Cette élève imagine avec humour, l’enterrement d’Adolf Hitler. Écrire ceci pouvait pourtant avoir de lourdes conséquences, d’autant que son établissement subit, entre 1940 et 1943, la présence des troupes d’occupation allemandes. De janvier à mars 1943, la Gestapo procède même aux arrestations et déportations vers Ravensbrück de la directrice, de la gestionnaire et de professeures, toutes accusées d’entretenir un « esprit anti allemand » et de cacher des jeunes filles juives. Depuis 1945, la mémoire des disparues, enrichie des témoignages des survivantes, est honorée chaque année.