La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
La "une" de ce numéro du journal Libération-sud concrétise la façon dont la lutte contre le STO, qui vise alors tous les jeunes de 21 à 23 ans, devient immédiatement la priorité absolue de la presse clandestine.
© Fondation de la Résistance Droits réservésLe refus de se présenter aux convocations pour le STO marque l’entrée dans l’illégalité : on devient un « réfractaire ». On pouvait aussi contourner le STO en se faisant embaucher dans une entreprise ou une institution dont le personnel était exempté du travail en Allemagne.
© Collection Gilbert Carayon Droits réservésBrochure éditée en 1943 par le Commissariat général à la main-d'oeuvre française en Allemagne
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésLouis Coquillet, cheminot communiste, membre de l'Organisation spéciale, participe à de nombreux attentats et sabotages. Arrêté en janvier 1942, il est fusillé au Mont-Valérien le 17 avril 1942.
© Archives de la Préfecture de Police de Paris Droits réservésPublication du parti communiste français, parue après la Libération, rendant hommage aux résistants et otages du Parti exécutés pendant l’Occupation
© Collection Ribeill Droits réservésAprès la défaite allemande à Stalingrad, les communistes témoignent de leur reconnaissance au peuple soviétique. Dans son numéro du 5 février 1943, l’Humanité clandestine salue l’Armée rouge et appelle les résistants à "s'unir, s'armer, se battre". Désormais l’espoir a changé de camp.
© Bibliothèque nationale de France Droits réservésSur la place centrale de Stalingrad, le drapeau soviétique flotte ; l'Armée rouge a vaincu.
© Archives fédérales allemandes (Deutsches Bundesarchiv) Libre de droitsDans son édition du 4 février 1943, Le Courrier de l'Air, journal parachuté par la RAF sur la France, annonce la défaite allemande de Stalingrad : "Devant Stalingrad, une armée de 330.000 Allemands a été écrasée".
© Collection privée Droits réservésAu printemps 1942, l'armée allemande lance une grande offensive en direction de Stalingrad, important centre industriel et portuaire situé sur la Volga.
© RIA Novosti archive, image #129362 / Zelma / CC-BY-SA 3.0 Libre de droitsLe 8 novembre 1942, les troupes anglo-américaines débarquent dans les territoires français d'Afrique du Nord. Ce débarquement marque le tournant de la Seconde Guerre mondiale sur le front occidental, conjointement avec les victoires britanniques d'El Alamein et soviétique de Stalingrad. La résistance française participe à la prise d'Alger qui tomba en un jour, alors qu'à Oran et au Maroc, les généraux de Vichy accueillent les Alliés à coups de canon ; les combats dureront trois jours.
© NARA Libre de droits