De l'Arc de Triomphe jusqu'à Notre-Dame, le cortège des FFI, des chars et des soldats alliés, le général de Gaulle en tête, est acclamé par la foule des Parisiens, tandis qu'éclatent quelques ultimes coups de feu.

Georges Jonesco a 19 ans quand il s’empare de sa caméra 9,5mm pour filmer la Libération de Paris. Membre de la Croix Rouge de Saint-Maurice, il est au premier rang pour filmer l’arrivée des troupes alliées par la nationale 5 le 19 août 1944. Il existe deux versions de ce film : ce montage commenté par G. Jonesco et une version intégrale muette de 13mn 51s.

Fiche de l'Assistance française de l'Ain établie au nom de Marcel Cochet

Extrait du registre d'écrou de la maison centrale d'Eysses sur lequel figure l'incarcération de Marcel Cochet. 
Pour en faciliter la lecture, nous avons divisé ce document en deux parties (recto-verso).

Extrait du registre d'écrou de la maison d'arrêt de Bourg délivré le 10 octobre 1943 relatif à l'incarcération de Marcel Cochet dans cette prison à compter du 23 juin 1943.

Extrait du registre d'écrou de la maison d'arrêt de Lyon délivré le 8 décembre 1943 relatif à l'incarcération de Marcel Cochet dans cette prison.

Notice individuelle de Marcel Cochet délivrée par le parquet de la cour d'appel de Lyon en avril 1944.

Extrait des minutes du greffe de la section spéciale de la cour d'appel de Lyon mentionnant le jugement prononcé le 8 novembre 1943 à l'encontre de Marcel Cochet.

André Boyer, dit "Brutus" et "Brémond", chef du réseau de renseignement éponyme à compter de début 1943 et artisan de son développement à l'échelle nationale, avocat, puis membre du comité directeur des MUR

André Boyer who was also called “Brutus” and “Brémond”, head of the eponymous network from early 1943. Boyer, who was a lawyer and a member of the Executive Committee of the MUR, was also the driving force behind the networks’ national expansion.

Poème de Paul Deguilhem composé à l'attention de son ami Marcel Cochet en janvier 1944.