Plaque provisoire en hommage à Jean Jemini, probablement installée dès la fin août 1944, située 2 bis, rue de Lyon, Paris XIIe

Dépôt de gerbe organisé devant le mur-mémorial de la Concorde, en l'honneur des infirmiers et brancardiers de la Croix-Rouge tombés lors de l'insurrection de Paris, octobre 1944

Carte de l’exode pénitentiaire du 10 au 21 juin 1940, au départ de la prison de la Santé (annexe de la prison militaire de Paris).

Lucien Sampaix, militant syndicaliste et communiste

Le Mémorial national du Camp de Drancy est composé d'un monument aux déportés, oeuvre de Shelomo Selinger (1976) et d'un wagon-témoin (inauguré en 1988) dans lequel une exposition retrace l'histoire du Camp de Drancy. Le mémorial est installé à l'entrée de la cité de la Muette, cité qui fut transformée en camp d'internement de 1941 à 1944 par l'occupant allemand.

Situé ans le 4e arrondissement de Paris, à la pointe Est de l’île de la Cité en contrebas du square de l'Île-de-France, le Mémorial des Martyrs de la Déportation est un monument parisien dédié au souvenir de l'ensemble des déportés de France entre 1941 et 1944. Son architecture concourt à évoquer les souffrances de celles et de ceux qui furent déportés et à inciter le visiteur à la réflexion et au recueillement. 

Monument érigé au carrefour de Longchamp dans le bois de Boulogne en hommage aux 35 résistants fusillés en ce lieu.

Mémorial Koenig, place-de-la-Porte-Maillot, oeuvre du sculpteur Albert Féraud et de l'architecte Marc Landowski, Paris XVIIe

Félix Cadras, l’un des principaux organisateurs et dirigeants du Parti communiste clandestin pendant l’Occupation, fusillé par les nazis au mont Valérien le 30 mai 1942

Le Régional, journal local du Nord de l’Ile-de-France, dépasse ici son territoire pour rapporter à sa Une ce qui s’est passé dans le département de l’Oise près de Méru. Dix jours après la libération de Paris, le journal raconte des épisodes avec une grande précision.