Contexte historique

Le général de Larminat, décidé à intervenir sur Oléron, dénonce la convention du 20 octobre auprès de l’état-major allemand pour le 16 avril. Au même moment, le PC d’Adeline quitte Saintes et s’installe à Saint-Georges-de-Marancennes et, alors que des combats se déroulent à Royan (la ville est libérée le 18), les FFAu (Forces françaises de l'Aunis) lancent une offensive dans le secteur d’Yves pour détourner l’ennemi d’Oléron où la reprise de l’île a débuté. Entre temps, l’amiral Meyer a de nouveau rencontré le vice-amiral Schirlitz à La Rochelle pour renégocier la sauvegarde des ports, remise en cause par la dénonciation de la convention. Ils aboutissent à un modus vivendi fragile car les dispositifs de destruction sont remis en place.